Kaamelott revient au cinéma : un voyage épique, des mystères et des défis de tournage
- 13/10/2025 à 14:35

Quatre ans après le succès du premier film, Alexandre Astier nous plonge à nouveau dans l’univers captivant de Kaamelott. Ce deuxième volet, divisé en deux parties, promet des aventures plus grandioses, des paysages à couper le souffle et une distribution encore plus riche, tout en gardant l’équilibre unique entre humour et profondeur qui a fait la renommée de la saga. Entre attentes des fans, intrigues mystérieuses et anecdotes de tournage, voici tout ce qu’il faut savoir sur le retour du roi Arthur et de ses chevaliers.
Quand sortiront les deux parties du Deuxième volet ?
Après des mois de suspense, la date officielle est enfin tombée : la première partie de Kaamelott – Deuxième volet sortira sur les écrans le 22 octobre 2025. La suite, qui conclura cette nouvelle aventure, est prévue pour le 11 novembre 2026. Alexandre Astier a choisi de diviser son récit en deux films pour offrir plus d’espace et de profondeur à l’histoire, permettant ainsi aux spectateurs de mieux s’immerger dans l’univers de Logres.
Une quête aux quatre coins du monde
« Les dieux sont en colère contre Arthur ! » Après la destruction de Kaamelott, le refus obstiné du roi de tuer Lancelot met en péril tout le royaume. Arthur décide alors de réunir ses chevaliers, qu’ils soient expérimentés ou novices, autour d’une nouvelle Table Ronde. Leur mission ? Prouver leur valeur en partant à l’aventure, des marais mystérieux aux terres glacées du Dragon Opalescent.
Le premier volet avait déjà introduit des éléments fantastiques : Lancelot invoquait des esprits, son apparence changeait, et le château était en ruines. Ce deuxième volet promet d’explorer encore plus loin ces intrigues parallèles et ces voyages dans des contrées lointaines. Comme le souligne Astier : « C’est un chapitre long, riche en histoires entrelacées, qui mérite qu’on prenne le temps de le raconter. »
Un casting riche et des retours attendus
La distribution de ce Deuxième volet s’annonce particulièrement impressionnante, avec pas moins de 78 comédiens impliqués dans les deux parties. On retrouve bien sûr les visages familiers de la série et du premier film : Anne Girouard (Guenièvre), Thomas Cousseau (Lancelot), Lionnel Astier (Léodagan), Jean-Christophe Hembert (Karadoc), Joëlle Sevilla (Dame Séli), Jacques Chambon (Merlin), Nicolas Gabion (Bohort), Guillaume Gallienne (Alzagar), et bien d’autres.
Parmi les retours marquants, on note celui de Simon Astier dans le rôle d’Yvain, absent du premier film, ainsi que Brice Fournier en Kadoc de Vannes. Le casting accueille aussi de nouvelles têtes : Franck Dubosc (Alfarn), Redouane Bougheraba (Silas), et Virginie Ledoyen, qui reprend le rôle d’Anna de Tintagel, précédemment interprété par Anouk Grinberg.
L’absence qui fait parler : où est Perceval ?
L’une des questions les plus posées par les fans concerne l’absence de Perceval, interprété par Franck Pitiot dans la série et le premier film. Alexandre Astier a confirmé que l’acteur ne ferait pas partie de ce Deuxième volet, sans donner plus de détails sur les raisons de ce choix. « Franck Pitiot n’est pas revenu jouer avec nous, ça a un peu changé le cours des choses. Il y a eu de la réécriture », a-t-il expliqué lors d’une interview.
L’absence de ce personnage emblématique suscite beaucoup de curiosité, notamment sur son éventuel retour dans la deuxième partie. Pour l’instant, le mystère reste entier, et l’équipe de tournage préfère garder le silence sur ce sujet.
Les coulisses d’un tournage hors norme
Tourner Kaamelott – Deuxième volet n’a pas été une mince affaire pour Alexandre Astier, qui cumule les rôles de réalisateur, scénariste et acteur. Il a comparé l’expérience à un « passage dans une machine à laver », tant les défis ont été nombreux.
Parmi les anecdotes les plus marquantes, une scène sous-marine a particulièrement mis à l’épreuve le réalisateur. La machine amphibie prévue pour le tournage n’avait pas été construite selon les plans, obligeant Astier à plonger en apnée, avec le risque de se noyer. « On m’a dit que je risquais la noyade… J’ai dû apprendre à plonger sur le moment », raconte-t-il.
Autre défi : le silence absolu. Certaines scènes exigeaient un calme total sur le plateau, une contrainte rare et difficile à respecter, mais nécessaire pour réussir les prises les plus délicates.

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